« Si j’ai peur des greffes, des moments obscurs, dans une phrase, c’est que ce que j’ai à dire ne tient pas. » Arno Bertina, mai 2016 | Saint-Brieuc | podcast
Nouvel épisode des dialogues avec Bertina (plusieurs fois déjà que je l’interviewe, voire sur materiau composite : https://materiaucomposite.wordpress.com/2015/10/14/arno-bertina201510/
C’était le dernier soir de ma résidence à Saint-Brieuc, au rez de chaussée de la Maison Louis Guilloux où j’ai passé des semaines cet hiver (blog : https://deconstruireconstruire.wordpress.com/), et nous avons parlé de construction de personnages, de mélancolie et d’appétit, d’Afrique bien sûr mais aussi de politique, de #nuitdebout et de répression, d’envie, d’amour… mais notamment, longtemps, de la fabuleuse puissance de fabuliste de ce récent « petit » livre paru à la contre-allée, Des Lions comme des danseuses :
(également chroniqué ici ).
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