« Si j’ai peur des greffes, des moments obscurs, dans une phrase, c’est que ce que j’ai à dire ne tient pas. » Arno Bertina, mai 2016 | Saint-Brieuc | podcast

"Si j’ai peur des greffes, des moments obscurs, dans une phrase, c’est que ce que j’ai à dire ne tient pas." Arno Bertina,  mai 2016 | Saint-Brieuc | podcast Nouvel épisode des dialogues avec Bertina  (plusieurs fois déjà que je l’interviewe, voire sur materiau composite : https://materiaucomposite.wordpress.com/2015/10/14/arno-bertina201510/ et https://materiaucomposite.wordpress.com/2013/02/18/vendredi-22-fevrier-2013-cette-vitesse-qui-electrise-le-livre-arno-bertina-rencontre-remue-net/ C’était le dernier soir de ma résidence … Lire la suite « Si j’ai peur des greffes, des moments obscurs, dans une phrase, c’est que ce que j’ai à dire ne tient pas. » Arno Bertina, mai 2016 | Saint-Brieuc | podcast

Publicité

Puissances de la fiction : Arno Bertina, J’ai appris à ne pas rire du démon, éditions Helium / Des lions comme des danseuses, éditions La Contre-allée, 2015

« Puis tout le monde était furieux donc personne ne pouvait s’en rendre compte, et nommer la chose, mais voilà : l’Europe était en train de devenir gratuite. Un cercle vertueux était enclenché qui pourrait amener les chefs à débarrasser leur propre culture de toutes les traces de la rapacité européenne. Si l’Europe devenait gratuite, … Lire la suite Puissances de la fiction : Arno Bertina, J’ai appris à ne pas rire du démon, éditions Helium / Des lions comme des danseuses, éditions La Contre-allée, 2015