Le to be continued en appel au vivant | Camille de Toledo, « Le livre de la faim et de la soif », Gallimard, février 2017

« Je dois revenir, s’exclame le livre en s’ouvrant, nulle part, ici, en me tombant des mains. Non pas à l’origine, poursuit-il, car je l’ai beau chercher, je ne la trouve pas, mais avant, dans le creux incandescent de l’informe, entre le créateur, c’est-à-dire son siège, et la créature, ou plutôt sa plaisanterie – Mais … Lire la suite Le to be continued en appel au vivant | Camille de Toledo, « Le livre de la faim et de la soif », Gallimard, février 2017

Les grands espaces de la (mini) fiction (Christian Garcin, Patrick Devresse, sur remue.net)

©patrickdevresse Les grands espaces de la (mini) fiction « « Les choses ne sont pas telles qu’elles paraissent être », voilà, c’est là que ça se joue, de façon toujours différente. » (Christian Garcin) Parmi ce qui me remue sur remue, il y a toute une part « pro » reliée aux résidences en Ile-de-France – laquelle n’exclue nullement des découvertes … Lire la suite Les grands espaces de la (mini) fiction (Christian Garcin, Patrick Devresse, sur remue.net)

Et nous n’avons même pas parlé de Tolède… (rencontre avec Mathias Enard et Camille de Toledo, podcast)

 Et nous n'avons même pas parlé de Tolède... Mathias Énard, Camille de Toledo Vertiges, vestiges – Nos Europes évanouies, à venir. Une conversation animée par Guénaël Boutouillet, pour remue.net et la Scène du Balcon, à la Maison de la poésie. Une rencontre dans le cadre d’ "Une Saison de lecture" organisée par La Scène du … Lire la suite Et nous n’avons même pas parlé de Tolède… (rencontre avec Mathias Enard et Camille de Toledo, podcast)

Mathias Énard, Camille de Toledo Vertiges, vestiges – Nos Europes évanouies, à venir. (une soirée remue.net, 23 janvier 2015)

16 janvier - J'en reparle un peu, car c'est dans une semaine, qu'il est encore temps de réserver, que nous serons dans la grande salle de la Maison de la Poésie, que les auteurs m'ont confirmé leur acceptation (enthousiaste) de ma proposition de se lire mutuellement à voix haute (et que donc nous aurons toutes … Lire la suite Mathias Énard, Camille de Toledo Vertiges, vestiges – Nos Europes évanouies, à venir. (une soirée remue.net, 23 janvier 2015)

pour nous, pour tous ? (une question d’entre-langue) | sur Camille de Toledo (et alentour)

Ous pour nous, pour tous ? (une question d’entre-langue)Ous pour nous, pour tous ?Je ne résous pas la question, ce lundi matin, et la pose à l’auteur, ou plus précisément, je choisis nous mais me demeure un doute à la mise en ligne, que je vais tenter de dissoudre en lui demandant.J’ai choisi nous en fonction du … Lire la suite pour nous, pour tous ? (une question d’entre-langue) | sur Camille de Toledo (et alentour)

La nuit remue, septième édition

Depuis 2006 remue.net organise ses « Nuits », plusieurs heures de lectures publiques pour découvrir des auteurs amis : à chaque fois une fête. Les traces des précédentes éditions (sons, images, vidéos) sont ici. La nuit remue, épisode 7, coordonnée cette année par Sébastien Rongier et moi-même, se déroulera le samedi 15 juin 2012 à la Bibliothèque Marguerite-Audoux … Lire la suite La nuit remue, septième édition

Jocelyn Bonnerave, « Le hoquet comme technique d’écriture »

À propos de L’Homme bambou, paru aux éditions du Seuil (collection Fictions et Cie, janvier 2013, ISBN 978-2-02-109824-2) (Chronique également parue sur remue.net) On ne reviendra plus en arrière      on voit bien tout du dessus, maintenant      Grande Galerie            Ménagerie allée de platanes qui chuchotent jusqu’à la Seine qui ne nous trahiront pas      planqués sur ce toit      on était là-dessous      on ne … Lire la suite Jocelyn Bonnerave, « Le hoquet comme technique d’écriture »

Camille de Toledo (un récit subjectif)

[Recevant et questionnant Camille de Toledo pour et avec  remue.net, vendredi 5 avril au Centre Cerise, dans le cadre des soirées remue.net avec La Scène du Balcon, il m’incombait de lui poser des questions, mais également de le présenter au public du Centre Cerise. L’exercice est de synthèse et de simplification, les deux sont choses … Lire la suite Camille de Toledo (un récit subjectif)

à l’écoute : Cette vitesse qui électrise le livre, entretien avec Arno Bertina (rencontre remue.net)

©Arno Bertina « Cette vitesse qui électrise le livre », entretien avec Arno Bertina. Joie d'animer cette rencontre remue.net , vendredi 22 février 2013 à 20 heures au Centre Cerise. Elle s'ajoute à une liste longue, qui constitue une histoire, en entier écoutable en ligne, un vaste territoire de passionnantes ressources (de Markowicz au clou dans le … Lire la suite à l’écoute : Cette vitesse qui électrise le livre, entretien avec Arno Bertina (rencontre remue.net)

Ce jour-là (par les élèves du lycée Nobel, Clichy-sous-Bois, avec Tanguy Viel (éditions Joca Seria)).

(Reprise d’une chronique publiée dans Encres de Loire n°62, 15 décembre 2012) « On a pris le RER D jusqu’à Saint-Michel puis le E qui mène tout droit à la gare du Raincy. On a vu le bus 603 arriver alors on a couru pour le prendre. On s’est assis tous les deux vers les places … Lire la suite Ce jour-là (par les élèves du lycée Nobel, Clichy-sous-Bois, avec Tanguy Viel (éditions Joca Seria)).

Vingt-trois | sur | Quatre-vingt-dix-neuf : remuer

Un site. De littérature : du flux, et du fond. Ce que je martelais, zigzaguant (zigzags de notre parole, son flot heurté, lorsqu’elle est plus ou moins publique et entraînée, remuée, par les mots autres assemblés en intelligence), aux amis remueurs autour de la table du centre Cerise, durant cette assemblée générale de l’association qui régit … Lire la suite Vingt-trois | sur | Quatre-vingt-dix-neuf : remuer

Vingt-deux | sur | quatre-vingt-dix-neuf : Confère

Il y a en ça comme en toute chose un avant, un après. D’avoir parlé de ce qu’il faudrait en entier on n’en rêve pas, nulle envie d’ailleurs d’être entier, d’être rassasié. D’avoir fait tous les liens, glissé habile, passements de portes sans racler rien, du flow à une touche de balle, on en rêve … Lire la suite Vingt-deux | sur | quatre-vingt-dix-neuf : Confère

Vingt | sur | Quatre-vingt-dix-neuf : Un évitement.

Re. Pour continuer il faut reprendre : les événements qui ne font pas fil, leur cours dont l’écoulement ne fait pas fleuve, il faut reprendre & simplement & seulement s’y remettre, relancer la machine corrodée par toutes les pluies d’un tiède été, s’y remettre comme si la veille c’était tout près, comme si la veille datait … Lire la suite Vingt | sur | Quatre-vingt-dix-neuf : Un évitement.

Huit | sur | Quatre-vingt-dix-neuf : Campagnes (1).

Mon général – est-ce Christophe Manon, auteur d’une Missive du Conseil autonome à l’adresse d’Instin qui m’y fit penser, est-ce que huit textes sans G.I, cela aurait fait trop – Mon général. Votre avancée en moi s’est faite souterraine, ces temps-ci, mon général, tranchées en pointillés. Huit textes, j’y reviens, sans G.I, auraient fait trop ; … Lire la suite Huit | sur | Quatre-vingt-dix-neuf : Campagnes (1).

Le monde en bouche-mentale | (« Fondrie », de Jean-Pascal dubost)

(reprise d'un article publié sur remue.net le 18 novembre 2004) On ouvrirait le livre, laisserait faire le hasard. Et, tomberait par exemple sur ça : EXTRACTION Car il te faut de l’effort et souffrir et de la sueur, avoir sous les ongles du sable, noir (à moulage, et laisses-y, même quand tu vas le dimanche … Lire la suite Le monde en bouche-mentale | (« Fondrie », de Jean-Pascal dubost)